(Traduction de "Protein Paranoia")
Les pays industrialisés en général, et ceux victimes du colonialisme britannique en particulier, dont les Etats-Unis, ont été la cible d’une immense propagande pro-protéine. On ne sait pas comment cela a commencé, ni le moment où l’espèce humaine a commencé à consommer de la chair animale, mais peut-être que cette soif de sang du lambda a été exacerbée par le fait qu’au bon vieux temps, les rois interdisaient aux paysans de chasser les « meilleurs » animaux, et donc les paysans, comme c’est toujours le cas lorsqu’on interdit quelque chose, ont réagi en en voulant encore plus. Autres exemples : la consommation d’alcool, de marijuana, et autres drogues ‘récréatives’. Dès lors, consommer de grandes quantités de chair animale était symbole de statut social, un symbole visible d’affluence, de succès et de richesse, tout comme l’est le surpoids dans certaines cultures. Les temps d’antenne sont saturés de publicité pour le tabac (jusqu’il y a peu), les hamburgers, les morceaux de poulets, les produits laitiers, l’alcool, la malbouffe, et leurs besoins de « remèdes » en résultant : brevets « médicaux » toxiques, ayant tous des effets désastreux sur la santé et la longévité humaine. Les publicités pour les nourritures saines, comme les fruits et les légumes, sont quasi inexistantes. Il est clair que les éléments détruisant la santé doivent avoir une marge de profit bien plus élevée que ceux qui sont bénéfiques, pour encourager cette furie de publicités. (La publicité moyenne de 30 secondes pendant les heures de grande écoute coûte 300.000-500.000$, sans compter le coût de production.)
Les pays industrialisés en général, et ceux victimes du colonialisme britannique en particulier, dont les Etats-Unis, ont été la cible d’une immense propagande pro-protéine. On ne sait pas comment cela a commencé, ni le moment où l’espèce humaine a commencé à consommer de la chair animale, mais peut-être que cette soif de sang du lambda a été exacerbée par le fait qu’au bon vieux temps, les rois interdisaient aux paysans de chasser les « meilleurs » animaux, et donc les paysans, comme c’est toujours le cas lorsqu’on interdit quelque chose, ont réagi en en voulant encore plus. Autres exemples : la consommation d’alcool, de marijuana, et autres drogues ‘récréatives’. Dès lors, consommer de grandes quantités de chair animale était symbole de statut social, un symbole visible d’affluence, de succès et de richesse, tout comme l’est le surpoids dans certaines cultures. Les temps d’antenne sont saturés de publicité pour le tabac (jusqu’il y a peu), les hamburgers, les morceaux de poulets, les produits laitiers, l’alcool, la malbouffe, et leurs besoins de « remèdes » en résultant : brevets « médicaux » toxiques, ayant tous des effets désastreux sur la santé et la longévité humaine. Les publicités pour les nourritures saines, comme les fruits et les légumes, sont quasi inexistantes. Il est clair que les éléments détruisant la santé doivent avoir une marge de profit bien plus élevée que ceux qui sont bénéfiques, pour encourager cette furie de publicités. (La publicité moyenne de 30 secondes pendant les heures de grande écoute coûte 300.000-500.000$, sans compter le coût de production.)
Même les “végétariens” ont cette phobie des protéines dans leur nouveau
mode de vie – l’héritage de décennies de conditionnement par l’industrie
publicitaire. On leur demande sans cesse : « où trouves-tu tes
protéines ?? ». Et bien, de quelle quantité de protéine a besoin le
corps humain en réalité ?
La manière la plus simple de comprendre notre besoin réel en protéines est
de considérer le bébé humain. Les protéines sont utilisées pour la construction
et la maintenance du tissu ; elles ne sont pas utilisées pour l’énergie
sauf des dans des conditions extrêmes. L’enfant humain développe de nouveaux
tissus au rythme le plus élevé de toute sa vie ; donc ses besoins en
protéine sont au maximum de sa vie entière ! Que fournit la nature pour ses
besoins en protéines ? Le lait maternel humain est un liquide contenant 1%
de protéines. Oui, 1% de notre régime alimentaire est assez pour assurer le
taux de croissance le plus élevé, et les besoins en protéines les plus élevés
de notre vie entière ! Une fois adulte, le besoin en protéines est
seulement nécessaire pour assurer la maintenance, pas la croissance
additionnelle ; dès lors, les besoins en protéines d’un adulte sont encore
moindres ! En fait, l’AJR actuel indique que l’humain adulte a besoin d’environ
1/3 des protéines d’un enfant ; donc, l’adulte a besoin d’1/3% de son
régime alimentaire moyen en protéines. Cela peut être fourni de manière
adéquate par les fruits et légumes, comme indiqué dans le tableau ci-dessous,
sans avoir recours à des sources concentrées : noix/graines,
« fromage de fruits secs », haricots, tofu, miso, « protéines de
soja texturées » etc.
Comment est-ce que la « science nutritionnelle » orthodoxe,
fondée en énorme partie par les cartels agro-alimentaires, arrive à ses AJR en
ce qui concerne les protéines ?
Une méthode censée évaluer la « qualité » des protéines est
appelée l'"Indice d'Efficience Protéique" (IEP) et est défini comme
l’apport en poids d’un animal en croissance divisé par son apport en protéines.
Bien que cela soit une mesure approximative de qualité de protéine, réalisée
dans des conditions spécifiques, elle fut critiquée car seule la quantité de
protéines consommée au-delà de la maintenance est utilisée pour la croissance.
Qui plus est, l'IEP varie en fonction de l’apport alimentaire. Ce ratio trouve
son utilité avec les petits animaux, et a été également employé dans les études
pour enfants [1]. Un peu de réflexion met rapidement en lumière les mensonges.
Premièrement, les résultats basés sur les études d’animaux autres que les
humains offrent très peu ou aucune information qui peut être appliquée à
l’espèce humaine, car les besoins biochimiques et alimentaires d’espères
différentes sont tout à fait différents. La nutrition du rat ne s’applique tout
simplement PAS aux humains, pas plus que la recherche des effets du LSD sur les
araignées pourrait être extrapolé aux humains. Ce genre de
« recherches » peuvent générer des subventions lucratives pour les
universités et déboucher sur bon nombre de doctorats, mais sont inutiles pour
toute compréhension des véritables problèmes alimentaires humains.
En outre, lorsqu’on considère le gain de poids, cela ne se rapporte PAS à
la santé optimale en quoi que ce soit. Celui qui devient le plus obèse le plus
rapidement est celui en meilleure santé ? Absurde. Au contraire, l’obésité
est connue pour être nuisible pour la santé, alors pourquoi est-ce qu’un gain
rapide de poids serait assimilé à un bénéfice alimentaire ? Le lait de
vache, vu qu’il est désigné pour un animal qui gagne environ 453 kilos durant
sa première année entraînera
FORCEMENT une croissance plus rapide chez l’enfant humain (qui est supposé
prendre 6 kilos durant sa première année) que le lait maternel humain, car ses
concentrations en protéines et en calcium sont environ 3 à 4 fois plus élevées
que dans le lait maternel humain, 7 fois plus en caséine, jusqu’à 3,4 fois plus
en minéraux, et les hormones de croissance bovines provoquant la croissance
rapide sont présentes. De toute évidence, suralimenter n’importe quel organisme
par un facteur de 4 ou plus produira FORCEMENT une « croissance »
rapide, par ex. obésité, mais aucune personne censée ne pourrait considérer
cela comme étant une croissance saine, ou comme indicateur de la qualité
nutritive « supérieure » des boissons bovines par rapport au lait
maternel humain pour les enfants.
En effet, le bébé humain nourri par la vache est toujours grossièrement
obèse, léthargique, maussade, en proie à des éructions cutanées, souffre
constamment de problèmes digestifs, pleure énormément, est lent à apprendre, et
malodorant. Le concept de l'IEP est un vestige de la mentalité d’après 2e
guerre mondiale de consumérisme aveugle : plus, plus, plus est toujours
mieux, mieux, mieux. Le concept d'IEP, et autres dogmes nutritionnels peu
orthodoxes basés sur une « logique » également erronée, a donné lieu
à cette société consommant des quantités énormes de protéines indigestibles et
autres « nourritures » qui ne peuvent pas être correctement digérées
et utilisées par le corps. Donc, une grande quantité de ces matériaux sont
stockées dans le corps sous forme de matériaux partiellement digérés et
toxiques que le corps tente d’éliminer par des phénomènes fort mal compris tels
que les « rhumes » et les « grippes ». Les efforts du corps
pour éliminer ces toxines stockées sont –mal- interprétés comme étant des
« maladies », et des médicaments hautement toxiques sont utilisés
pour supprimer les efforts du corps d’auto-nettoyage et d’auto-guérison. Des
analyses plus détaillées de ce processus néfaste d’interférence avec le processus
naturel de nettoyage du corps, ainsi qu’une technique simple pour éliminer de
manière permanente les « rhumes », « grippes » et
« allergies » de sa vie, sont disponibles dans l’article : Beyond Vegetarianism: How To Permanently
Eliminate "Colds/Flus" by Simple Dietary Change (Au-delà du
végétarisme : Comment éliminer de manière permanente les
« rhumes/grippes » par un simple changement alimentaire).
Cette façon erronée de percevoir la réalité, de considérer SEULEMENT la
quantité en ignorant systématiquement la qualité, nous a mené exactement aux
désastres écologiques mondiaux qui menacent actuellement la continuité de
l’existence de toute forme de vie sur cette planète. Il y a des aspects
QUANTITATIFS et QUALIFICATIFS à toutes les situations, concepts et pratiques ;
il faut considérer les deux aspects, autrement l’incompréhension et le désastre
sont inévitables.
Un autre moyen utilisé par la
pseudo science nutritionnelle pour déterminer les « besoins » en
protéines s’appelle la méthode d’Equilibre Azoté. Puisque l’azote fait partie
du groupe aminé [-NH2] des acides aminés dont toutes les protéines sont faites,
et puisque l’azote est bien plus facile à quantifier en laboratoire que les
protéines complexes, la théorie est que l’on devrait consommer assez de
protéines (mesurées en azote) de sorte que la quantité ingérée soit équivalente
à la quantité excrétée. (C’est semblable à la philosophie absurde
Gatorade : mangez vos excrétions.) Donc, lorsqu’on se trouve en
« équilibre azoté », il n’y a aucun gain ou aucune perte nette
d’azote et on prétend que les tissus sont idéalement maintenus. Pour déterminer
le statut en protéines d’une personne, on la soumet à un régime alimentaire
réduit en protéines, ou sans protéines, et on mesure ensuite l’azote excrété
pendant quelques jours et on estime ensuite que vu que cela représente le
montant de protéines perdues, cela représente également le montant que la
personne aurait dû ingérer durant la même période pour maintenir un poids
stable. Simple et évident n’est-ce pas ? Erreur ! Malheureusement,
les nutritionnistes ne savent pas que des quantités énormes de mucus et toxines
basées sur les protéines sont stockées dans le corps du consommateur moyen
d’aliments cuits, viande riche en protéines/œufs/produits laitiers, ou que
soumettre ces personnes à ce qui est essentiellement un jeûne déclenchera un
processus d’auto-nettoyage qui provoquera l’élimination du corps de grandes
quantités de mucus et toxines riches en azote. Au vu de ces excrétions
accélérées, les besoins en protéines de l’être humain sont grossièrement
exagérés.
Toute personne ayant expérimenté un changement de régime alimentaire, ou
surtout le jeûne, sait qu’une énorme quantité de déchets sont éliminés lors de
tout changement positif dans le régime alimentaire, et que ces éliminations
sont fortement accélérées durant un jeûne. (Un jeûne consiste à ne consommer
que de l’eau, et à faire un lavement pour aider à nettoyer le côlon des déchets
pour prévenir une grave auto-intoxication.) Par ailleurs, de grandes quantités
de mucus sont éliminées en premier ; et au fur et à mesure que le corps se
nettoie, les excrétions de mucus ralentiront nettement. Puisque les expériences
sur l’« Equilibre Azoté » nutritionnel ne durent généralement pas
assez de temps pour que le corps se nettoie assez pour déterminer ses réels
besoins en protéines, comme en témoigne la perte d’azote constante, pas
exponentiellement décroissante, les quantités estimées par cette méthode
excèdent largement nos besoins réels.
En ce qui concerne les exigences en protéines, Albanese et Orto [2]
admettent que « Bien que l’étude des besoins en protéines de l’humain ait
suscité l’intérêt de scientifiques durant des dizaines d’années... des
exigences définitives n’ont pas été établies à la satisfaction d’un grand
nombre. » Ils se lamentent que la méthode d’Equilibre Azoté « ait été
fréquemment étudiée, mais semble en réalité être un indicateur peu fiable
d’apport satisfaisant en protéines. » Qui plus est, « les quantités
de protéines nécessaires au maintien de l’équilibre azoté varient selon l’état
nutritionnel du sujet. Lorsque les réserves en protéines étaient épuisées, même
de petites quantités d’azote étaient suffisantes pour produire un équilibre
positif. De même, on a découvert que, chez les patients ne consommant que du
riz, l’équilibre azoté pouvait être maintenu avec de petites quantités de
protéines – quantités qui ne semblaient pas favorables à une bonne
santé. » « … la somme des données disponibles, dont l’ARJ du National
Research Council, représente au mieux des tâtonnements intelligents sur les
quantités de protéines qui couvriront amplement les besoins de l’humain. »[1]
« L’effet d’une faim totale (ex: véritable jeûne) sur l’excrétion
d’azote a été étudié bon nombre de fois. Un rapport montre qu’une femme en
bonne santé ayant volontairement suivi un jeûne a excrété durant les premiers jours
une moyenne de 6 à 8 grammes d’azote, et ensuite les jours suivants, jusqu’au
26e jour, 4,26 grammes et encore plus tard 2 à 3 gramme par jour. …
La réduction progressive d’excrétion d’azote, comme constaté lors des jeûnes,
semi-jeûnes, ou régimes pauvres en protéines, se produit non seulement parce
que les fractions de protéines facilement disponibles du corps sont
progressivement épuisées mais probablement à cause de l’adaptation à
l’approvisionnement réduit de nourriture ou de protéines. »[1]
Etrangement, si le corps s’est réellement adapté à cet approvisionnement réduit
de protéines, un approvisionnement plus élevé n’est de toute évidence pas
nécessaire. Si, pour l’exemple plus haut, les 2-3 grammes/jour représentent les
réels besoins en protéines du corps, après que les déchets à haute teneur en
protéines aient été éliminés, alors les besoins journaliers en protéines
seraient : P=N (azote) x 6.25 = 2.5 x 6.25 = 15.6 grammes/jour,
nettement moins que les « tâtonnements intelligents » des AJR de 64
grammes/jour pour une femme. Cette quantité pourrait être fournie par environ
1.4 kilo de fruits et légumes.
De manière significative, Albanese et
Orto admettent que « l’efficacité de l’utilisation de protéines est
diminuée lorsque l’apport calorique est bas ou que l’approvisionnement en
protéines est excessif ».[1] Une autre preuve qu’un régime élevé en
protéines est inutile et auto-destructeur. Lorsqu’on gagne de l’expérience avec
un régime alimentaire pauvre en protéines, à base de plantes, on finit par
comprendre que les protéines concentrées, par ex celles de plus d’1% environ,
ne peuvent pas être digérées correctement, et qu’on est en bien meilleure santé
avec les protéines fournies par les fruits et légumes qu’en tentant d’obtenir
« assez » de protéines via des sources concentrées, telles que les
noix/graines, haricots, légumineuses, etc.
Une conclusion très frappante, au
moins pour ceux et celles conditionnés par la culture des cowboys de croire que nous
avons besoin de beaucoup de protéines, est révélée par les AJR et l’application
d’un peu de calcul de secondaire. Les valeurs des AJR en protéines et énergie
se trouvent ci-dessous.
Les 4e et 6e colonnes, cependant,
sont les AJR/lb du poids du corps, car cette information est capitale pour
produire des comparaisons significatives pour les gens de poids différents. En
omettant intentionnellement ce calcul simple et tout à fait nécessaire, les
« autorités » donnent la clairement fausse impression que les besoins
en protéines et calories augmentent lorsque nous grandissons ; cependant,
le contraire est exactement correct. La vérité est que l’humain adulte a besoin d’environ 1/3 des protéines et ¼ des calories,
sur une base grammes-par-grammes, dont il a eu besoin durant l’enfance ! Ceci est aisément fourni par les
fruits et légumes.
Contenu protéique de différents aliments (en % de protéines par pourcentage de poids)
Fruits : 0,5-1,5 %
Lait maternel : 1-1,1 %
Riz brun : 2,5 %
Riz blanc : 2%
Légumes : 0,5-3,5 %
Choux : 2-4 %
Remarque: les aliments suivants possèdent bien trop de protéines pour une digestion correcte par l'humain, et ne sont dès lors pas recommandé pour la consommation mais sont inclus pour la comparaison.
Lait de vache : 3,5 %
Haricots (cuits) : 8 %
Oeufs : 13 %
Fromage : 14-20 %
Viande : 9-30 %
Poisson : 20-28 %
Noix/graines : 10-25 %
Fruits : 0,5-1,5 %
Lait maternel : 1-1,1 %
Riz brun : 2,5 %
Riz blanc : 2%
Légumes : 0,5-3,5 %
Choux : 2-4 %
Remarque: les aliments suivants possèdent bien trop de protéines pour une digestion correcte par l'humain, et ne sont dès lors pas recommandé pour la consommation mais sont inclus pour la comparaison.
Lait de vache : 3,5 %
Haricots (cuits) : 8 %
Oeufs : 13 %
Fromage : 14-20 %
Viande : 9-30 %
Poisson : 20-28 %
Noix/graines : 10-25 %
[1] Goodhart and Shils,
Modern Nutrition in Health and Disease, Lea and Febiger, 5th ed, 1973
Mon opinion : Article fort intéressant mais dommage qu'il n'y ait pas plus de sources, le lien en bas de page renvoyant vers plus de renseignements étant mort. Même en étant végétalien, nous avons tendance à consommer des aliments riches en protéines par peur d'une éventuelle carence. Personnellement, je pense qu'à partir du moment où les besoins en calories sont atteints, il me semble tout simplement impossible pour l'humain d'avoir une carence en protéines, même en ne se nourrissant que de fruits et légumes. N'oublions par ailleurs pas que la cuisson dénature les protéines.
Plus de ressources sur les protéines : http://www.ecologos.org/pro.htm
Mon opinion : Article fort intéressant mais dommage qu'il n'y ait pas plus de sources, le lien en bas de page renvoyant vers plus de renseignements étant mort. Même en étant végétalien, nous avons tendance à consommer des aliments riches en protéines par peur d'une éventuelle carence. Personnellement, je pense qu'à partir du moment où les besoins en calories sont atteints, il me semble tout simplement impossible pour l'humain d'avoir une carence en protéines, même en ne se nourrissant que de fruits et légumes. N'oublions par ailleurs pas que la cuisson dénature les protéines.
Plus de ressources sur les protéines : http://www.ecologos.org/pro.htm
Article très intéressant et très opportun effectivement en cette époque maladivement pro-régimes pro-produits-protéiques!
RépondreSupprimerMerci :-)
Comme souvent, encore un discours qui mélange tout et n'importe quoi. Trop de peu de précision et pas mal de choses qui relèvent plus d'un avis personnel que d'une réflexion étayée par une réelle recherche. Le tout si bien entremêlé qu'il me serait difficile de proposer une correction sans reprendre tout le texte.
RépondreSupprimerConcernant les toxines je pencherais plutôt de ce coté :
http://www.charlatans.info/detoxication.shtml